Percez le mystère des statues de l’ile de Pâques

Le passé des Moaï de l’île de Pâques demeure bien difficile à comprendre. En effet, cette ligne d’environ mille statues, la face pour un paysage désert et le dos contre la mer ne cessent de troubler les chercheurs.

Pourquoi est-il difficile de résoudre l’énigme ?

Les chercheurs connaissent déjà que ces majestueuses idoles ont été installées en hiérarchie sur des champs cérémonials bâtis par les Autochtones de l’île, les Rapa Nui. Toutefois, la réponse exacte de l’énigme par rapport à l’originalité des effigies elles-mêmes s’évanouit avec l’écroulement de la civilisation polynésienne qui les a créés. Des recherches avaient spécialement conclu qu'elles employaient afin d'indiquer des repères d'eau douce. Enfin, beaucoup de théories abordent sur ces géantes figures.

Pourquoi ils ont exagéré la taille de leurs sculptures ?

On ne peut pas être certain pour les raisons qui encourageaient les matamua ou les Rapa Nui à mythifier la taille de leurs statues. Peut-être, il s’agit d’une sorte de concurrence de prestige au beau milieu de clans ou d’un acte sacré consolidant l’adhérence de toute la société. Les chercheurs sur la disparition de la civilisation matamua, présument que cette fabrique est responsable de l’anéantissement des ressources de l’île. Néanmoins, pour d’autres interlocuteurs, se basant sur de vieilles histoires de l’île avant l’année 1860, celle-ci était prospère. D’après eux, les troupeaux de bétail ramenés par les Européens étaient les seuls responsables de la disparition des forêts ainsi que la dévastation du sol. Enfin, il paraît qu’au 13e siècle de notre ère, les premiers moaï fabriqués étaient de taille normale et de morphologie humaine.

Ce qu'il faut savoir sur les sculptures des moaï ?

Presque, la totalité des moaï de l’île de Pâques ont été creusées dans une carrière basaltique à l’Est de l’île du plateau de Poike. Sans doute, les tailleurs de pierre de cette époque retranchaient au préalable le bloc dans la totalité du roc, sans séparer le verso de la paroi. Ainsi, le bloc était ébauché sur la face avant, ensuite poursuivait la sculpture des parties morphologiques en ne comptant pas les yeux, qui sont taillés pendant l'élaboration. Par la suite, le bloc était dégagé de la paroi en décapitant le dos du colosse. Ce dernier, en position horizontale, roulait donc sur une glissière, en forme de planche à roulettes, au-dessus des pierres rondes fonçant vers un trou aux pieds du volcan. Puis redressé ingénieusement par le moyen de pierres groupées et de leviers, qui sont encore là, lors de votre visite à ce lieu. Toutefois, des études récentes dévoilent une autre possibilité, en effet, l'archéologue développe que les blocs n'étaient confectionnés qu'une fois débarqués sur le lieu où ils devaient être levés, et non avant.

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